23 & 24 Juin 2005, ballade en Zeppelin  

Un Zeppelin au dessus

Pour l’édition du salon aéronautique et de l’espace du Bourget 2005, les sociétés AIRSHIPVISION, le groupe ZOFEMA et la firme allemande ZEPPELIN présentaient un système de surveillance aéroporté installé sur un des dirigeable NT-07 de cette dernière.

L’appareil qui avait fait le déplacement était le prototype de la firme qui avait été présenté précédemment à l’édition du Bourget 2001, mais pour ce Salon  2005 il lui a enfin, été possible de démontrer qu’il n’est pas un dirigeable comme les autres.

Tous les jours au Salon du Bourget, le NT-07 D-LZFN, baptisé « FRIEDRICFSHAFEN »  démontrait ses qualités, plusieurs atterrissages et décollages étaient réalisés chaque matin. L’appareil se présentait face au vent, trois équipiers sur la piste, le crew chief (le maître de dirigeable) brandissait une manche à air pour informer au pilote le sens et de la force du vent sur l’air d’atterrissage. Lentement le NT-07 descendait, s’orientait, se stabilisait pour se poser avec précision.

L’un des équipiers ouvrait la porte située à l’arrière gauche de la cabine et installait en son seuil une échelle de trois marches, à son invitation les passagers étaient conviés à descendre par groupes de 2 ou 3, dans le but de pas trop alléger ou d’alourdir la masse actuelle du NT-07. D’autres attendaient derrière le crew chief. Ce ballet bien réglé, n’excède pas 5 minutes, puis la porte était refermée, le pilote communiquant par radio avec le crew-chief, après une rapide pesée, l’appareil reprenait son envol, s’alignant parfaitement dans l’axe de la piste 25-07 puis s’éloignait vers Paris pour un vol d’une petite demi-heure.

En début d’après midi l’appareil rejoignait sa base provisoire de Pontoise, là sur l’aérodrome se trouvait le reste de son équipe et toute la logistique Zeppelin, 1 semi-remorque avec les outils pour la maintenance, 1 camion surmonté d’un mât, 2 véhicules 4x4 tractant deux remorques, l’une avec un mât démontable et l’autre un réservoir de carburant.

Des invités venaient évaluer le système de caméra embarqué.

23 Juin 2005, Un vieux rêve devient réalité.

Jeudi 23 Juin 2005, 5h15 du matin accompagné de plusieurs amis venu assistés au décollage du grand Zeppelin, nous sommes accueillis par les deux pilotes Dominique Manière (un ami français pilote de dirigeables depuis plus d’un quart de siècle) et Hans-Paul Ströhle pilote d’hélicoptère passé au dirigeable.

L’équipe au sol se compose d’une petite dizaine de spécialistes, dont le crew-chief (maître du dirigeable) qui est responsable de l’appareil au sol.

Les 3 moteurs de 200 CV chacun ronronnent déjà, dans un tempo bien réglé, l’enveloppe entière vibre, il fait encore nuit et la lune nous permet de faire admirer à nos accompagnateurs l’appareil qui a survolé Paris pendant quinze jours. L’étonnement est bien là, quelques mots résument l’émotion :

« C’est gigantesque », « On dirait qu’il vit », « Il remplie l’espace », « Celui ci est géant, alors on imagine le Hindenbourg ».

Il est temps de prendre place à bords. Nous embarquons par la porte arrière gauche, par une petite échelle fixe à 2 barreaux, et découvrons une grande cabine digne d’un jet d’affaire, neuf fauteuils en cuir gris nous tendent leur deux bras rabattables, sa capacité peut passer à 12 passagers, pour le salon du Bourget le Zeppelin NT-07 était aménagé pour 9 sièges passagers et une console pour le système de surveillance aéroporté.

La porte est refermée et verrouillée par un équipier au sol, nous prenons place et à la demande des pilotes, bouclons nos ceintures et attachons nos sacs au fauteuils restés libres.

Nous somme six, nos deux pilotes, Renert un membre de l’équipe au sol passionné de dirigeable et de photos, il nous a avoué qu’il était toujours volontaire pour prendre place à bords lors des vols de transit des Zeppelin, Jean-Pierre David le président de l’association Objectif Bases Dirigeables et constructeur de dirigeables à rames « l’Aéroplume » et maintenant l’Electroplume, Olivier, et votre serviteur Thierry passionné devenu créateur de sites web pour faire avancer les mœurs dans le monde du dirigeable français.

5h45, le commandant de bord, Dominique en communication radio avec l’équipe au sol, Sous le nez du dirigeable le crew-chief exécute un ballet avec ses bras le pilote son bras tendue vers l’avant indique qu’il est prêt.

Un équipier placé sur l’avant gauche de NT-07 oriente sa télécommande de modèle-réduit pour dé accoupler le nez de son mât, les moteurs chantonnent crescendo, le camion mât s’éloigne rapidement pour  libérer l’air de décollage.

Les hélices latérales pivotent vers le haut en quelques secondes, dans un sifflement régulier l’engin monte rapidement en douceur, nous survolons notre équipe au sol, tout le monde salut à grands coups de bras, nous les laissons pour quelques heures, ils prendront la route en direction de l’Allemagne par le nord de Paris et l’autoroute A4 Strasbourg puis Freiburg et Friedrichshafen.

A 1000 pieds, (environ 300 m) nous atteignons notre altitude de croisière, un voyant lumineux situé au dessus du cockpit nous autorise à déboucler nos ceintures.  

 

Vue d’en haut nous devons nous repérer pour découvrir les lieux survolés, voilà la base

de loisirs de Cergy-Pontoise reconnaissable à son lac.

Sur notre gauche, les premiers rayons du soleil percent à l’horizon, nous distinguons Paris et ses monuments, la Tour-Eiffel, Montparnasse, le sacré-cœur de Montmartre, la ville la plus visité au monde s’offre à nous, sur la gauche l’incontournable quartier de la défense, monde des affaires, ses tours flirtent avec un duvet matinale de nuages solitaires.

A bords nos appareils photos numériques immortalisent ses rares instants, la capitale nous livre ses facettes.

Poissy, un parking de groupe PSA, couvert de milliers de voitures, d’ici nous connaissons la mode des couleurs, en majorité elles sont blanches, grises ou noires.

Et Versailles nous est compté, ses bassins en cascades, et les jardins de Le Notre sont encore dans l’ombre quelques rayons commencent à lancer leurs reflets sur ses eaux, tout à l’heure les jets et fontaines saluerons le passage du grand Zeppelin.

Une heure que nous volons, à la hauteur de Dourdan, plein sud nous changeons pour un nouveau cap vers l’est.

Notre paysage de béton fait place aux forêts et champs, nous commençons a découvrir en détail notre nouveau balcon. Oui cette cabine est un véritable balcon volant, confortablement installés dans ces magnifique fauteuils, la cabine nous offre une vision sur 360°,et les vitres bien dimensionnées n’altèrent en rien les paysages environnants. Nous pouvons apprécier cette premier heure de découverte et Jean-Pierre et Olivier profitent pour fêter leur « baptême de l’air en dirigeable ».

Le dirigeable est l’engin volant le plus adapté à la découverte par les airs, J’ai eu l’occasion de faire le tour de Paris en hélicoptère, nous étions 4 passagers dans une minuscule cabine attachés durant les vingt minutes du vol, assis en place avant gauche je pouvais voir que les paysages sur ma gauche, la conversation n’étant possible qu’avec un casque.

(J’étais persuader que par dirigeable la visite aurait été inoubliable ?).

7h10, l’aérodrome, où le champs d’aviation de Cerny « le meeting de la Fertès-Alais » se déroule tous les ans le week-end de la Pentecôte. Des gens sortent des hangars et des camping-cars, surpris de voir ce Zeppelin venir survoler le terrain, certainement se pose t’ils la question « le meeting est passé », Deux tours du terrain, l’appareil décrit deux parfaits cercles sur place. Nous cherchons la maison gonflable d’un ami, Hans Walter Muller, il vit dans le bois derrière les hangars.

 

 

Au sol les avions du « Musée volant » sont parqués ; le Junker 95 « la tante Julie » à peut-être tournoyée autour du LZ129 Hindenbourg.

Nous quittons la Fertès, et contemplons le paysage assis sur la banquette de la baie arrière de la nacelle.

7h30, vertical du champs de course en Fontainebleau, sur la droite au loin, l’étendue est vaste, on distingue le château de Fontainebleau

On se laisse à imaginer dans ce vaisseau la visite par des dirigeables de nos régions à découvrir comme les châteaux de la Loire, le Canal du Midi et bien d’autres.

9h20,  Troyes et le lac d’Orient. 9h50 , Bar-sur-Seine. 10h05, Bar-sur-Aube. 10.h35, Mi chemin sur la route de  Chaumont à Langres.

10h55, Langres, d’ici une petite source qui jaillit de ce plateau, nous avions quelques heures auparavant survolé les méandres d’un grand fleuve appelé « Seine » . 11h20, Nogent. 11h40, Bourbonne-les-Bains, les terres de ce petit village que nous survolons on gardé sont marquées par l’histoire des Zeppelin . C’était en 1917, durant la nuit du 19 Octobre, onze Zeppelin de retour d’un raid sur l’Angleterre sont gênés par de mauvaises conditions météo, l’un d’entre le L49 (LZ96) dont l’autonomie est de 22 heures, se pose sur un  terrain boisé proche de Bourbonne-les-bains.

A bords de notre Zeppelin nous imaginons l’énorme machine de presque 200 m de long, de cette histoire nous avons retrouvé des cartes postales anciennes, salut lui est rendu en cette journée de Juin 2005, par un de ses descendants.

Le présent reprend son court

11H55, St-Loup-Semouse. 12h15, Lure, Dominique m’invite à prendre sa place en compagnie du pilot Hans-Paul, Les pieds calées sur des reposes-pieds, un mini-manche sur ma gauche comme sur Fly-simulator, mais ici  c’est pour de vrai, devant une planche de bord avec plusieurs écrans, plusieurs représente le dessin du NT-07 avec les ballonnets, % de remplissage, température hélium, gestion des moteurs, sur la droite un écran couplé avec un GPS une carte défile en temps réel, nous indique notre position exacte.

Au dessus une planche avec des fusibles et interrupteurs, et trois manettes bleues pour commander manuellement l’ouverture des soupapes des ballonnets d’air, deux autres manettes rouges pour les soupapes d’hélium, au prix de l’hélium à n’ouvrir en cas de force majeure.

La planche du bas, c’est les commandes moteurs, puissance, richesse, pas des hélices, reverses, etc.…

12h40, Belfort. 13h00, Guebwiller, la frontière franco-allemande se rapproche, depuis notre départ de Paris un échange réguliers de messages « SMS » entre l’équipe au sol qui se trouve sur la route et les pilotes du dirigeable, il a été décidé de faire escale pour la nuit à Frieburg.

Une joie envahie, notre bande de trois passagers, cela annonce de bonnes choses, un décollage et un atterrissage de plus et la possibilité des recharger les batteries de nos boites à souvenirs.13h15, Wintzenheim, 13h30, Mülheim, 14h00, Selestat, 14h30, Rust.

Frieburg est à 30 minutes de vol, l’équipe est bloquée sur la route, nous devons attendre, nous longerons la frontière en zigzagant pour patienter.

Dominique et Haus-Paul nous indiquent notre point d’arrivée sur l’horizon, nous avons de la chance la météo est avec nous depuis le départ de Paris, la canicule n’est pas perceptible à bords, 40° au sol, sous cette bulle gaz , à l’ombre, les fenêtres ouvertes, bercez par le chant mécanique des moteurs.

15h00, Frieburg.

Quelques tours de piste, nous attendons le regroupement des véhicules, sur l’aéroport de Frieburg, le semi-remorque est le dernier a pénétrer sur le terrain, la vue est magnifique, le dirigeable effectue de grand cercle, mal orienté au sol, nous crions pour le guider t’en pur nous il est facile d’en haut de trouver le meilleur chemin.

Le voyant des ceintures s’illumine, il est temps de s’accrocher.  

L’équipe et parée à nous recevoir, le crew-chief brandit sa manche à air vers le dirigeable comme si il voulait le toucher.

Le nez plonge, l’avant de l’enveloppe remplace le bleu de l’horizon, les hélices pivotes et changent de cadences, une impression étrange de chute retenue, puis l’unique la roulette de la cabine touche le sol, le camion-mât s’approche, trois minutes plus tard ballon et mât de font plus qu’un.

Une dernière manœuvre, le cercle de sécurité autour du dirigeable n’est pas sûr , nous l’ensemble doit être déplacé, par des actions combinées orientations, vitesse des hélices nous surfons a 5 ou 6 mètres pour permettre au camion de se repositionner.

L’emplacement est choisi pour l’escale.

Après 9h35 de vol les 3 moteurs sont mis en sommeil. Nous descendons, retrouvons le terre ferme.

Nos regards se tournent comme pour saluez le bête, il est vrai que jamais nous oublierons cet aventure, ces heures contempler la terre vu d’en haut, comme ses globe-trotteurs des airs qui immortalise ces cartes postales de paysages de rêve, nous venons de vivre des heures inoubliables que la planète est belle.

Le dirigeable à certainement été inventé pour la redécouvrir en prenant le temps sur le temps.  

 

 

 

 

Vol à bord du blimp Aeros A40B, le 27 Septembre 2003.

L'Aeros 40B de la société française AMSE était présent fin Septembre 2003 sur la plage de Deauville, base provisoire, son mât de 8 mètres était planté sur la plage entre les planches et la mer.

Après plusieurs vols l'appareil se présente face à la mer, atmosphère irréaliste un dirigeable sur la plage, cela n'était pas une première mondiale mais il fallait le dire, chapeau !!!

A bords la nacelle 5 places, vous contemplez le paysage sur presque 360°, le pilotage à l'aide d'un mini-manche, les deux moteurs pleine puissance, l'appareil s'allège à quelques mètres des vagues, en montée virage à droite, je suis surpris par le confort, cet appareil est équipé d'un système révolutionnaire de commandes de vol pneumatiques.

Le survol de Deauville, la compagne environnante et la célèbre plage et ses planches.

Remerciements à Jean-claude Alazet et toute son équipe 2003. http://www.amse.aero

http://perso.wanadoo.fr/blimp/aeros.htm

Vol à bord du mythique WDL "FUJI", le 27 Septembre 2003.

Vol à bord du 27 Septembre 2003, à bord du célèbre D-LDFO " FUJI ", ce dirigeable en entré dans le Guiness des records.

Il vole avec la même enveloppe depuis de son premier vol en 1981 et en prime pour le même annonceur la société FUJI.

Vétéran des dirigeables modernes, il est l'incontournable, en Septembre 2003 un aller retour en Allemagne pour un vol d'un heure au dessus de la région d'Essen-Mülheim.

Depuis 2002 des vols touristiques sont organisés depuis sa base permanente de Mülheim, l'accueil est sympathique, dans un salon une vidéo nous présente l'appareil et ses voyages à travers les régions allemandes.

A l'heure du vol une sirène alerte l'équipe au sol que Fuji est en approche des installations, une hôtesse nous conduit sur l'aire des manœuvres.

L'énorme baleine remplie l'horizon, ce blimp est géant haut comme un immeuble de cinq étages.

Une vingtaine d'équipiers maintiennent ce mastodonte face au vent, pour maintenir le lest nous montons à tour de rôle.

D'un geste du bras le pilote signale au crew-chief qu'il est prêt à décoller. Plein gaz sur son unique roue le dirigeable prendre l'air au bout de quelques mètres, l'incidence de montée est d'environ 25 à 30 °.

La nacelle grande comme un mini-van accueil 7 passagers plus 1 pilote.

Pour la journée des vols de l'année 2003, la météo était excellente, et l'accueil d'Arnold Beier et de toute son équipe irréprochable, remerciements à tous.

Si vous passez prés de Mulheim n'hésitez pas.

http://www.wdl-luftschiff.de/Rundfluge/body_rundfluge.html

http://www.fujifilm.de/club/zeppelin

http://perso.wanadoo.fr/blimp/WDL.htm

 

Mon 1er vol en blimp, 29 Mai 2000.   My 1-st flight in blimp, in May 29, 2000.

26 Mai 2000, Suite à une info de la tour de contrôle de l'aérodrome de Meaux Esbly ( 77 France ), un dirigeable vient d'arriver sur cet aéroport.

Les 26 et 27, un vent violent règne sur la région Parisienne cloue au sol le dirigeable, 3 personnes de l'équipe sont de quart pour surveiller l'aérostat.

C'est un American Blimp A60+ du Lightship Group, I-TIRE " Spirit of Europe 1" qui vole pour la société Goodyear, ce dirigeable sillonne l'Europe depuis 1998 avec son frère le " Spirit of Europe 2 ", N-12ZP.

En cette fin Mai 2000, le blimp est en avance sur son transit il doit se rendre sur l'aéroport de Pontoise ( 95 France ), à partir de cette base il filmera pour la TV France 3, les courses de chevaux sur l'hippodrome de Chantilly ( 60 France ).

Il s'arrête 6 jours sur l'aérodrome d'Esbly.

Le 29 Mai 2000, l'un des pilotes du team, Florian KUHN qui pilote des blimps depuis 3 ans me contacte pour un vol dans l'après midi.

A mon arrivé sur le terrain le chef équipe contacte le blimp qui vole depuis 12H04, le dirigeable se présente en approche à 14H25.

Impatient je vais enfin pouvoir réaliser un vieux rêve qui sommeil en moi depuis 1972.

Remerciements à Toby Page à toute l'équipe pour ce 1er vol.  

 

 

 

In May 26, 2000, Further to an info of the control tower of Meaux Esbly's airport (77 France), a blimp has just arrived on this airport.
The 26 and 27, a violent wind reigns over the Paris region nail on the ground the blimp, 3 persons of the team are of quarter to watch the balloon.
It is American Blimp A60 + of Lightship Group, I-TIRE " SPIRIT OF EUROPE 1 " who flies for the Goodyear company, this blimp crosses Europe since 1998 with his brother " Spirit of Europe 2 ", N-12ZP.
At this end of May, 2000, the blimp is early on its transit it has to go on the airport of Pontoise (95 France), from this base it will film for TV France 3, horse-races on the racecourse of Chantilly (60 France).
It stops 6 days on Esbly's airport.
On May 29, 2000, one of the pilots of the team, Florian KUHN who pilots blimps for 3 years contacts me for a flight in him after noon.
In my arrived on the ground the leader equips contact the blimp which flies since 12. 04, the blimp appears in approach at 14. 25.
Impatient person I am going finally to be able to realize an old dream which sleep in me since 1972. 
Thankings at Toby Page in all the team for this 1-st flight.

 

Mon 1er vol en blimp, 29 Mai 2000.My 1-st flight in blimp, in May 29, 2000.

14h30, le blimp Spirit of Europe 1, se pose sur l'aérodrome d'Esbly.

Comme un team de formule 1, l'équipe prendre sa place pour attraper les 2 cordes qui pendent sous le nez de l'aérostat.

14. 30, the blimp Spirit of Europe 1, landing on Esbly's aerodrome.
As a team of formula 1, the team take the place to catch 2 cord who hang under the nose of the balloon.

 

Le dirigeable est stabilisé, Rapide Briefing du public relation de l'équipe, les hélices tournent dés la montée à par, je m'installe en place droite à coté du pilote.

The dirigible is stabilized, Fast Briefing of public relation of the team, helixes turn dies ascent in by, I settle down in straight place in quoted by the pilot.

Le pilote est Florian Kuhn ex pilote d'hélicoptère il est passé au dirigeable il y a 3 ans.

Moteurs pleins gaz, montée pour se stabiliser vers 1200 pieds.

Sur cette photo : le mât et les véhicules du team.

The pilot is experimental Florian Kuhn ex of helicopter he is crossed in the dirigible 3 years ago.
Full engines gas, ascent to stabilize towards 1200 feet.
On this photo: the mast and the vehicles of the team.

Magnifique le balcon idéale pour l'observation c'est super.

Ici Lagny sur marne, en haut on distingue la centrale électrique de Vaires sur marne.

Sous l'enveloppe la soupape de l'unique ballonnet d'air.

Magnificent the balcony ideal for the observation it is great.
Here Lagny sur marne, at the top one distinguishes Vaires sur marne's power plant on marl.
Under the envelope the air valve of the only air-bag.

Sur la gauche de l'appareil, fixé sur les câbles qui suspendent la cabine, le badin.

Au loin le parc de Disneyland-Paris, le survol est interdit.

On the left of the device, fixed to the cables which suspend the cabin, the joking.
Far off Disneyland-Paris's park, flying is speechless.

Florian Kuhn pilote de dirigeable au Lightship GRoup.

La planche de bord, le blimp A60+ est certifié pour le vol aux instruments ( IFR ).

Sur la droite la ville de Vaires sur marne.

Florian Kuhn airship pilot in Lightship GRoup.
The dashboard, the blimp A60 + is guaranteed for the flight to instruments ( IFR).
On the right-hand side the city of Vaires sur marne.

Vingt mètres plus loin sur l'arrière, la gouverne du direction.

Le tube rouge, placé dans le flux de l'hélice, alimente en air le ballonnet d'air.

Les suspentes qui maintiennent la cabine accrochée sous l'enveloppe.

Twenty metres farther on the back, the steering of direction.
The red tube, placed in the stream of the helix, feeds with air the air-bag.
The suspentes which maintain the cabin hung on under the envelope.

Survol d'un lac du coté d'Annet sur marne.

A 1200 pieds on distingue très bien les détails.

Le prise d'air du moteur Limbach.

Flying over a lake of Annet's highly-rated on marl.
In 1200 feet one distinguishes very well details.
Air inlet of the engine Limbach.

16h30, après 2 heures le dirigeable se pose.

Pour 30 minutes le dirigeable est amarré par Hélène.

Le second pilote Mark Finney qui pilota le N-11ZP minesseker en 2000 au Kosovo.

16. 30, after 2 hours the dirigible landing.
For 30 minutes the dirigible is moored by Hélène.
The second pilots Mark Finney which piloted N-11ZP minesseker in 2000 in Kosovo.

Le blimp A60+ est le blimp le plus répandu actuellement dans le monde, une quinzaine de A60+ volent.

Le fabricant American Blimp Corp, voir la fiche dans ce site.

The blimp A60 + is the most wide-spread blimp at present in the world, about fifteen A60 + fly.
The manufacturer American Blimp Corp, to see the index card in this site.